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  • 9,00

    Ménure superbe, d’Axelle Glé

    Le ménure superbe, ou oiseau-lyre, est un oiseau australien qui possède la faculté surprenante d’imiter tous sons perçus. Il incarne ici l’enchantement déclenché et soutenu par la variété du vivant : becs, plumes, foules des espèces et solitudes intimes. Le poème sonore, pseudo-récit, parcours initiatique, est influencé par les lectures réitérées du Cantique des oiseaux de Ud’din Attar, monument du soufisme. Ce poème tout en mosaïque et paraboles a marqué et bercé l’imaginaire de poète d’Axelle Glé avec ses dimensions conceptuelles, narratives et sensuelles. Dans Ménure Superbe les voix intérieures et animales s’entremêlent, la vie est joie et mort, la langue est légèreté et empreinte. Formée par la musique, la littérature et le soin, Axelle Glé tisse des textes où le sonore et la musique sont primordiaux. Elle crée et dit des textes et spectacles poétiques en solo, avec la complicité de comédiens, de musiciens ou d’artistes visuels. Voués généralement à être dits lors d’évènements, ses textes se retrouvent parfois dans des objets papier : livres d’artiste, revues. Elle participe activement à la vie de l’association PoSo qui œuvre pour la littérature vivante en Touraine et anime des ateliers d’écriture tous publics en parallèle de l’écriture poétique. Elle poursuit ses recherches sur le son et la littérature à travers une thèse de doctorat. https://soundcloud.com/lesinapercus/menure-superbe?si=00853274a21c497eb55c9bb4a79be7de&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing Extrait : DEPART Imaginer le nombre de battements cardiaques entre deux battements battements d’ailes, ou en vol plané. L’un des oiseaux est sur le point de départ. Sans s’attendre ils partent. Ils décollent tous presque en même temps. Les oiseaux parfois se rassemblent, ou volent seuls. Parfois un oiseau en supplante un autre. Ils parfois s’envolent loin dans d’autres peut-être forêts ou océans ou temps anciens. Ou panthéons. Ils parfois ne reviennent pas. Ils souvent planent pour d’autres horizons. Ils parfois reviennent mais ce ne sont pas les mêmes.
    9,00
    9,00
  • 7,50

    Stimuli, de Nicolas Tardy

    Quatrième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. A partir de la novélisation partielle d’un chef-d'œuvre du cinéma français que vous pourriez reconnaitre, Stimuli déconstruit en filigrane les stéréotypes des situations de désir. Il se concentre sur les passages où le personnage principal masculin virilisé à l’extrême est au contact avec des femmes tout aussi stéréotypées. Sa déambulation à travers un monde dont il peine à saisir les codes est à la fois objet d’étude et fil conducteur d’un effeuillage syntaxique des clichés du désir physique mis en scène.  On est cette fois dans l’évitement et l’ellipse, les scènes ne sont pas décrites. Nicolas Tardy est né en 1970, il vit à Marseille. Après des études en art et multimédia, il se consacre uniquement à l’écriture poétique. La question de la représentation — notamment via l’ekphrasis, la poésie documentaire et la novélisation — est au cœur de son travail. Il se prête régulièrement à des lectures publiques et collabore volontiers avec des artistes et des musiciens. Par ailleurs, il partage son temps entre l’animation d’ateliers d’écriture, des workshops en écoles d’art, de l’enseignement en écriture numérique. Parution le 14 avril 2023
    7,50
    7,50
  • 7,00

    Un festin simple, de Fabrice Caravaca

    Long poème et petit livre, Un festin simple, est le troisième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la Carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. Un festin simple se compose de deux textes. Fabrice Caravaca est né en 1977 en Dordogne. Il a publié une dizaine de livres. Il publie aussi en revue et participe à des lectures publiques. Il vit à Limoges où il anime les éditions Dernier Télégramme depuis 2005. Parution le 23 juin 2022
    7,00
    7,00
  • 15,00

    780 NGF, de Thomas Giraud et Renaud Buenerd

    Un lac de montagne, si bien intégré dans le paysage qu'on le croirait là depuis toujours. Pourtant il est l'œuvre de l'Homme, une œuvre très récente même, puisque Angèle ne l'a pas toujours connu ainsi. Angèle sait bien comment c'était avant, et qui elle avait rencontré au village, celui qui est sous l'eau du lac. Elle se souvient aussi de ce qu'il a fallu faire pour ne pas être séparé. Chez Thomas Giraud, c'est le réel qui sert d'amorce à la fiction, ici la construction du plus grand barrage hydroélectrique d'Europe, donnant naissance au lac de Serre-Ponçon et l'engloutissement de plusieurs villages, qui sert d'écrin à l'histoire d'Angèle et Andréa, qui perdure au-delà de la vie. Les aquarelles de Renaud Buenerd, toutes à la fois lumineuses et profondes, sont saturées progressivement, cachant ou révélant ainsi une narration propre, en écho au texte, autour de la forme centrale du lac.
    15,00
    15,00
  • 7,00

    La Bête, son corps de forêt, de Perrine Le Querrec

    Long poème et petit livre, La Bête, son corps de forêt, est le deuxième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la Carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. La Bête, son corps de forêt, c’est l’organisation amoureuse, sensuelle, de la poésie et du jouir. Une histoire de mots sur la page. L’effet des mots sur le corps, du corps sur les mots. L’histoire d’une rencontre. Deux corps deux animaux des mots. Terre ferme. Tout tangue. Est-ce que l’autre existe ? Est-ce que l’écriture existe ? L’un existe-t-il sans l’autre ? Perrine Le Querrec publie de la poésie, des romans, des pamphlets. Elle écrit par chocs, construit une langue et un regard à la poursuite des mots réticents, des silences résistants. Ses rencontres avec des artistes et sa fréquentation assidue des archives nourrissent sa propre création littéraire et pluridisciplinaire. Parution le 12 juin 2020
    7,00
    7,00
  • 17,00

    Plier une hirondelle, de Margret Kreidl

    "Plier une hirondelle" est le monologue d'une femme qui s'affirme aussi bien avec malice qu'avec désespoir. C'est une boucle. Une femme raconte une histoire. C'est l'histoire d'un oiseau, dit-elle et commence à gazouiller. C'est l'histoire d'une femme, dit-elle et commence à faire des listes, des rimes, des poèmes. Elle raconte ses rêves. C'est l’histoire de deux sœurs – une histoire composée sous forme de fragments. Fragments assemblés non sans ruptures. À l’image du souvenir qui demande une composition sans cesse renouvelée. Margret Kreidl, née à Salzburg en 1964 et exerce depuis 1989 le métier d’écrivaine (théâtre, pièces radiophoniques, prose et poésie). Depuis 1990, ses pièces sont régulièrement jouées en Autriche ainsi qu’à l’étranger (mises en scène entre autres à Graz, Wien, Berlin, München, Zürich, Amsterdam, Tel Aviv) et elle a écrit de nombreuses radiophoniques pour la radio autrichienne. Margret Kreidl a reçu le Prix ​​ national de l'artiste exceptionnel par la République d'Autriche en littérature en 2018 Parution le 12 juin 2020
    17,00
    17,00
  • 7,00

    Des Rendez-vous, d’Isabelle Bonat-Luciani

    Long poème et petit livre, "Des Rendez-vous" inaugure la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en reférence à la carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. Ce premier fragment évoque les corps, les chavirements, la sensualité des gestes, les peaux qui se rencontrent, se répondent et qui ensemble, inventent une autre réalité. "Des rendez-vous" où l'on s'abandonne totalement, des fulgurances de l´amour fou où les corps se cherchent autant qu'ils s'éloignent jusqu'à chuter, et se relèvent finalement. Comme on se relève de l'enfance. Jamais tout à fait.
    7,00
    7,00
  • 15,00

    L’Entreterre, de Benoît Vincent

    Avec ses semblables, Dito perpétue la tradition de l’ouio dans l´entreterre. Dans ce pays rude, le jeune homme, habile à nouer les filets destinés à la récolte des olives, se sent à l’étroit et voudrait aller voir ailleurs. Suite au décès d´une aïeule, il saisit l´occasion de quitter son village, sa famille et met son talent à disposition dans un nouvel univers, en bord de Méditerranée. De pays en paysage, on accompagne son parcours depuis les alpes jusqu´à la mer. Que trouvera-t-il dans cette nouvelle vie ? Benoît Vincent, qui nous avait déjà régalés avec son précédent Farigoule Bastard (Le Nouvel Attila), reprend la plume pour la nouvelle collection des Inaperçus, Narratus, dédiée aux récits imaginaires. Il s’y approprie les mots, la syntaxe, les images et on se laisse bercer/heurter par les phrases au rythme du pas de son héros.
    15,00
    15,00
  • 17,00

    Habiter, traces & trajets, de Sereine Berlottier et Jérémy Liron

    "Habiter", ce sont cinq textes très différents, pour explorer, par les voies du poème et de la prose, des manières d’habiter, d’investir l’espace, de le rêver, de le penser et de s’en souvenir. « Lieu favorable » trame des souvenirs, les images ténues, crépusculaires parfois, venues de l’enfance. On y devine une vieille ferme, une « maison de paille » disparue, des silhouettes enfantines. Dans « l’annonce », une quête impossible déploie ses questions, dans l’énergie d’un inventaire sans fin, celui d’un lieu où l’on pourrait vivre. Les « 144 fragments pour habiter » s’ouvrent comme une rêverie accompagnée, tissée de micro-récits, de lectures, de voix citées, traces & trajets, pour explorer ce qu’habiter engage. « Ailleurs » offre le portrait d’une maison perdue dans les arbres, en écho à l’impossible quête qui fut celle de H.D. Thoreau et « la cabane », poème qui clôt le livre, suggère l’horizon pacifié d’une forme souple, légère, amicale : la cabane où respirer, jouer avec les formes, défaire, reprendre et continuer. En écho, l’ouverture des façades et des paysages de Jérémy Liron, l’intensité de leur couleur, relance et déplace les points de vue. De césures en reprises, l’obstination du regard approfondit l’enquête. Dans l’espace du livre, habiter ne s’invente pas seul. Sereine Berlottier lit un extrait de son texte :
    17,00
    17,00
  • 14,00

    Jours redoutables, de Christophe Manon et Frédéric D. Oberland

    Les jours redoutables désignent une période considérée comme particulièrement propice au repentir, alors même que l’humanité est en instance de jugement devant Dieu. Christophe Manon alterne ici prose et poèmes fragmentés, découpés par sa prosodie, où ces chants égrènent moments de joie éphémères, plaisirs, défaites, en un memento mori délicatement sombre mais résolument épris de la vie, si courte et vulnérable. Les photographies de Frédéric D. Oberland prêtent leur grain sensuel comme une invitation au voyage. Il capture étreintes et paysages comme de mystérieuses épiphanies, lumineuses et contrastées, qui célèbrent la rencontre et la fraternité. > Christophe Manon lit un extrait de son texte :
    14,00
    14,00
  • 14,00

    Or, il parlait du sanctuaire de son corps, de Frédéric Coché et Mathieu Riboulet

    Mathieu Riboulet nous livre ici des fragments poétiques, où il va à la rencontre des personnages obscurs du Nouveau Testament, Joseph d’Arimathie, Marthe, Nathanaël.. ceux qui croisent le Christ et prennent un instant part à sa légende. Utilisant le potentiel de mystère des textes bibliques, il nous parle également de territoires : la Cisjordanie, la Cyrénaïque, la Galilée.. L’auteur, servi par une phrase toujours plus maîtrisée, précise, et une langue lumineuse, pratique ici un mysticisme laïque, utilisant des éléments narratifs des textes sacrés pour interroger la foi, loin du dogme religieux. Frédéric Coché lui donne la réplique par ses gravures dépouillées, où son imaginaire flamboyant se déploie pour donner naissance à une mythologie symbolique teintée d’uchronie. > Mathieu Riboulet lit un extrait de son livre :
    14,00
    14,00
  • 14,00

    Langue Trou, de Ludovic Degroote et Céline Guichard

    Ludovic Degroote publie avec "Langue Trou" son premier recueil de poésie sexuelle, davantage qu’érotique, à partir d’un poème éponyme écrit en 2001. Ici, Degroote le prolonge et alterne fragments et poèmes versifiés minimalistes suggérant l’enjeu d’un tel sujet, parfois avec drôlerie, où tout ne se passe pas si facilement. Céline Guichard, par la frontalité de ses dessins, dépasse l’expressionnisme et la réduction formaliste. pour en offrir sa version. Comme Prigent, elle pourrait dire «Du sexuel, je ne sais évidemment rien, sinon que c’est précisément ce qu’on ne sait pas». > Ludovic Degroote lit un extrait de son texte
    14,00
    14,00
  • 13,50

    Les Oiseaux favorables, de Stéphane Bouquet et Amaury da Cunha

    Les Oiseaux favorables, les bons augures, ceux qu’attend la personne qui est « elle » dans ce livre. Elle, sa solitude interminable, la fuite des désirs, les histoires imaginaires ou virtuelles, l’écoulement naturel et inexorable de la vie, voilà ce que Stéphane Bouquet déploie dans sa prose très pure, qui rejoint la recherche d’apaisement de son personnage. Amaury da Cunha offre à cet univers ses photographies allusives et intimes, tout en nuances et clairs-obscurs, comme autant d’énigmatiques espaces en suspens. Les images, parfois en diptyques, sont des constructions lacunaires qui invitent le lecteur à imaginer l’instant d’après. > Stéphane Bouquet lit un extrait de son texte
    13,50
    13,50
  • 13,50

    Le Travail de mourir, d’Emmanuelle Pagano et Claude Rouyer

    "Tu n'as qu'à prendre un livre": ainsi rassure-t-on la petite-fille avant de l'emmener faire la tournée des oncles et tantes dans des maisons où seule la cuisine vit. Le travail de mourir est aussi l'histoire de cette autre tante, tricoteuse à domicile, dont le corps rapetisse depuis qu'elle est mariée à un mort - qui, lui, passa sa vie à les enterrer. En retraçant ces souvenirs, Emmanuelle Pagano revient aussi sur les mouvements d'écriture, qui s'apparentent à ceux que la narratrice apprit sur le Tricotin de son enfance. Les photographies de Claude Rouyer immortalisent cet univers où la mort rôde et où l'espace rétrécit, mais où percent encore quelques taches de couleur, comme autant de précieuses réminiscences à la pureté inaltérée. > Emmanuelle Pagano lit un extrait de son texte
    13,50
    13,50
  • 13,50

    Immense et rouge, d’Akın Çetin et Marie Chartres

    La femme au centre de Immense et rouge, terrifiant récit de Marie Chartres, avance dans une vie aux bords émoussés, glissants : une traversée d’états limite, où se mêlent passé et présent, souvenirs dramatiques et visions fulgurantes. L’origine en est un drame dont on ne dira rien (dont tout ne nous est pas dit, du reste). Bascule, eaux troubles portées par une langue forte, véritable fabrique d’images, de couleurs. Et les images, magnifiques de Akin Cetin ouvrent des lignes de fuite aux consciences de lecteur, n’illustrent pas, c’est heureux, car tout eût put aisément, dès lors, basculer dans le trop-plein, dans le pathos. Les questions demeurent ouvertes, la douceur reste un possible – du texte sont préservées les heureuses ambiguïtés. [Guénaël Boutouillet sur le site Matériau Composite ] > Marie Chartres lit un extrait de son livre :
    13,50
    13,50
  • 9,00

    Ménure superbe, d’Axelle Glé

    9,00

    Ménure superbe, d’Axelle Glé

    Le ménure superbe, ou oiseau-lyre, est un oiseau australien qui possède la faculté surprenante d’imiter tous sons perçus. Il incarne ici l’enchantement déclenché et soutenu par la variété du vivant : becs, plumes, foules des espèces et solitudes intimes. Le poème sonore, pseudo-récit, parcours initiatique, est influencé par les lectures réitérées du Cantique des oiseaux de Ud’din Attar, monument du soufisme. Ce poème tout en mosaïque et paraboles a marqué et bercé l’imaginaire de poète d’Axelle Glé avec ses dimensions conceptuelles, narratives et sensuelles. Dans Ménure Superbe les voix intérieures et animales s’entremêlent, la vie est joie et mort, la langue est légèreté et empreinte. Formée par la musique, la littérature et le soin, Axelle Glé tisse des textes où le sonore et la musique sont primordiaux. Elle crée et dit des textes et spectacles poétiques en solo, avec la complicité de comédiens, de musiciens ou d’artistes visuels. Voués généralement à être dits lors d’évènements, ses textes se retrouvent parfois dans des objets papier : livres d’artiste, revues. Elle participe activement à la vie de l’association PoSo qui œuvre pour la littérature vivante en Touraine et anime des ateliers d’écriture tous publics en parallèle de l’écriture poétique. Elle poursuit ses recherches sur le son et la littérature à travers une thèse de doctorat. https://soundcloud.com/lesinapercus/menure-superbe?si=00853274a21c497eb55c9bb4a79be7de&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing Extrait : DEPART Imaginer le nombre de battements cardiaques entre deux battements battements d’ailes, ou en vol plané. L’un des oiseaux est sur le point de départ. Sans s’attendre ils partent. Ils décollent tous presque en même temps. Les oiseaux parfois se rassemblent, ou volent seuls. Parfois un oiseau en supplante un autre. Ils parfois s’envolent loin dans d’autres peut-être forêts ou océans ou temps anciens. Ou panthéons. Ils parfois ne reviennent pas. Ils souvent planent pour d’autres horizons. Ils parfois reviennent mais ce ne sont pas les mêmes.
    9,00
  • 7,50

    Stimuli, de Nicolas Tardy

    7,50

    Stimuli, de Nicolas Tardy

    Quatrième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. A partir de la novélisation partielle d’un chef-d'œuvre du cinéma français que vous pourriez reconnaitre, Stimuli déconstruit en filigrane les stéréotypes des situations de désir. Il se concentre sur les passages où le personnage principal masculin virilisé à l’extrême est au contact avec des femmes tout aussi stéréotypées. Sa déambulation à travers un monde dont il peine à saisir les codes est à la fois objet d’étude et fil conducteur d’un effeuillage syntaxique des clichés du désir physique mis en scène.  On est cette fois dans l’évitement et l’ellipse, les scènes ne sont pas décrites. Nicolas Tardy est né en 1970, il vit à Marseille. Après des études en art et multimédia, il se consacre uniquement à l’écriture poétique. La question de la représentation — notamment via l’ekphrasis, la poésie documentaire et la novélisation — est au cœur de son travail. Il se prête régulièrement à des lectures publiques et collabore volontiers avec des artistes et des musiciens. Par ailleurs, il partage son temps entre l’animation d’ateliers d’écriture, des workshops en écoles d’art, de l’enseignement en écriture numérique. Parution le 14 avril 2023
    7,50
  • 7,00

    Un festin simple, de Fabrice Caravaca

    7,00

    Un festin simple, de Fabrice Caravaca

    Long poème et petit livre, Un festin simple, est le troisième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la Carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. Un festin simple se compose de deux textes. Fabrice Caravaca est né en 1977 en Dordogne. Il a publié une dizaine de livres. Il publie aussi en revue et participe à des lectures publiques. Il vit à Limoges où il anime les éditions Dernier Télégramme depuis 2005. Parution le 23 juin 2022
    7,00
  • 15,00

    780 NGF, de Thomas Giraud et Renaud Buenerd

    15,00

    780 NGF, de Thomas Giraud et Renaud Buenerd

    Un lac de montagne, si bien intégré dans le paysage qu'on le croirait là depuis toujours. Pourtant il est l'œuvre de l'Homme, une œuvre très récente même, puisque Angèle ne l'a pas toujours connu ainsi. Angèle sait bien comment c'était avant, et qui elle avait rencontré au village, celui qui est sous l'eau du lac. Elle se souvient aussi de ce qu'il a fallu faire pour ne pas être séparé. Chez Thomas Giraud, c'est le réel qui sert d'amorce à la fiction, ici la construction du plus grand barrage hydroélectrique d'Europe, donnant naissance au lac de Serre-Ponçon et l'engloutissement de plusieurs villages, qui sert d'écrin à l'histoire d'Angèle et Andréa, qui perdure au-delà de la vie. Les aquarelles de Renaud Buenerd, toutes à la fois lumineuses et profondes, sont saturées progressivement, cachant ou révélant ainsi une narration propre, en écho au texte, autour de la forme centrale du lac.
    15,00
  • 7,00

    La Bête, son corps de forêt, de Perrine Le Querrec

    7,00

    La Bête, son corps de forêt, de Perrine Le Querrec

    Long poème et petit livre, La Bête, son corps de forêt, est le deuxième ouvrage de la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en référence à la Carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. La Bête, son corps de forêt, c’est l’organisation amoureuse, sensuelle, de la poésie et du jouir. Une histoire de mots sur la page. L’effet des mots sur le corps, du corps sur les mots. L’histoire d’une rencontre. Deux corps deux animaux des mots. Terre ferme. Tout tangue. Est-ce que l’autre existe ? Est-ce que l’écriture existe ? L’un existe-t-il sans l’autre ? Perrine Le Querrec publie de la poésie, des romans, des pamphlets. Elle écrit par chocs, construit une langue et un regard à la poursuite des mots réticents, des silences résistants. Ses rencontres avec des artistes et sa fréquentation assidue des archives nourrissent sa propre création littéraire et pluridisciplinaire. Parution le 12 juin 2020
    7,00
  • 17,00

    Plier une hirondelle, de Margret Kreidl

    17,00

    Plier une hirondelle, de Margret Kreidl

    "Plier une hirondelle" est le monologue d'une femme qui s'affirme aussi bien avec malice qu'avec désespoir. C'est une boucle. Une femme raconte une histoire. C'est l'histoire d'un oiseau, dit-elle et commence à gazouiller. C'est l'histoire d'une femme, dit-elle et commence à faire des listes, des rimes, des poèmes. Elle raconte ses rêves. C'est l’histoire de deux sœurs – une histoire composée sous forme de fragments. Fragments assemblés non sans ruptures. À l’image du souvenir qui demande une composition sans cesse renouvelée. Margret Kreidl, née à Salzburg en 1964 et exerce depuis 1989 le métier d’écrivaine (théâtre, pièces radiophoniques, prose et poésie). Depuis 1990, ses pièces sont régulièrement jouées en Autriche ainsi qu’à l’étranger (mises en scène entre autres à Graz, Wien, Berlin, München, Zürich, Amsterdam, Tel Aviv) et elle a écrit de nombreuses radiophoniques pour la radio autrichienne. Margret Kreidl a reçu le Prix ​​ national de l'artiste exceptionnel par la République d'Autriche en littérature en 2018 Parution le 12 juin 2020
    17,00
  • 7,00

    Des Rendez-vous, d’Isabelle Bonat-Luciani

    7,00

    Des Rendez-vous, d’Isabelle Bonat-Luciani

    Long poème et petit livre, "Des Rendez-vous" inaugure la collection La Mer dangereuse, dédiée au désir et aux passions amoureuses - en reférence à la carte du Pays de Tendre qui représente les différentes étapes de la vie amoureuse et où la Mer dangereuse figure les passions. Ce premier fragment évoque les corps, les chavirements, la sensualité des gestes, les peaux qui se rencontrent, se répondent et qui ensemble, inventent une autre réalité. "Des rendez-vous" où l'on s'abandonne totalement, des fulgurances de l´amour fou où les corps se cherchent autant qu'ils s'éloignent jusqu'à chuter, et se relèvent finalement. Comme on se relève de l'enfance. Jamais tout à fait.
    7,00
  • 15,00

    L’Entreterre, de Benoît Vincent

    15,00

    L’Entreterre, de Benoît Vincent

    Avec ses semblables, Dito perpétue la tradition de l’ouio dans l´entreterre. Dans ce pays rude, le jeune homme, habile à nouer les filets destinés à la récolte des olives, se sent à l’étroit et voudrait aller voir ailleurs. Suite au décès d´une aïeule, il saisit l´occasion de quitter son village, sa famille et met son talent à disposition dans un nouvel univers, en bord de Méditerranée. De pays en paysage, on accompagne son parcours depuis les alpes jusqu´à la mer. Que trouvera-t-il dans cette nouvelle vie ? Benoît Vincent, qui nous avait déjà régalés avec son précédent Farigoule Bastard (Le Nouvel Attila), reprend la plume pour la nouvelle collection des Inaperçus, Narratus, dédiée aux récits imaginaires. Il s’y approprie les mots, la syntaxe, les images et on se laisse bercer/heurter par les phrases au rythme du pas de son héros.
    15,00
  • 17,00

    Habiter, traces & trajets, de Sereine Berlottier et Jérémy Liron

    17,00

    Habiter, traces & trajets, de Sereine Berlottier et Jérémy Liron

    "Habiter", ce sont cinq textes très différents, pour explorer, par les voies du poème et de la prose, des manières d’habiter, d’investir l’espace, de le rêver, de le penser et de s’en souvenir. « Lieu favorable » trame des souvenirs, les images ténues, crépusculaires parfois, venues de l’enfance. On y devine une vieille ferme, une « maison de paille » disparue, des silhouettes enfantines. Dans « l’annonce », une quête impossible déploie ses questions, dans l’énergie d’un inventaire sans fin, celui d’un lieu où l’on pourrait vivre. Les « 144 fragments pour habiter » s’ouvrent comme une rêverie accompagnée, tissée de micro-récits, de lectures, de voix citées, traces & trajets, pour explorer ce qu’habiter engage. « Ailleurs » offre le portrait d’une maison perdue dans les arbres, en écho à l’impossible quête qui fut celle de H.D. Thoreau et « la cabane », poème qui clôt le livre, suggère l’horizon pacifié d’une forme souple, légère, amicale : la cabane où respirer, jouer avec les formes, défaire, reprendre et continuer. En écho, l’ouverture des façades et des paysages de Jérémy Liron, l’intensité de leur couleur, relance et déplace les points de vue. De césures en reprises, l’obstination du regard approfondit l’enquête. Dans l’espace du livre, habiter ne s’invente pas seul. Sereine Berlottier lit un extrait de son texte :
    17,00
  • 14,00

    Jours redoutables, de Christophe Manon et Frédéric D. Oberland

    14,00

    Jours redoutables, de Christophe Manon et Frédéric D. Oberland

    Les jours redoutables désignent une période considérée comme particulièrement propice au repentir, alors même que l’humanité est en instance de jugement devant Dieu. Christophe Manon alterne ici prose et poèmes fragmentés, découpés par sa prosodie, où ces chants égrènent moments de joie éphémères, plaisirs, défaites, en un memento mori délicatement sombre mais résolument épris de la vie, si courte et vulnérable. Les photographies de Frédéric D. Oberland prêtent leur grain sensuel comme une invitation au voyage. Il capture étreintes et paysages comme de mystérieuses épiphanies, lumineuses et contrastées, qui célèbrent la rencontre et la fraternité. > Christophe Manon lit un extrait de son texte :
    14,00
  • 14,00

    Or, il parlait du sanctuaire de son corps, de Frédéric Coché et Mathieu Riboulet

    14,00

    Or, il parlait du sanctuaire de son corps, de Frédéric Coché et Mathieu Riboulet

    Mathieu Riboulet nous livre ici des fragments poétiques, où il va à la rencontre des personnages obscurs du Nouveau Testament, Joseph d’Arimathie, Marthe, Nathanaël.. ceux qui croisent le Christ et prennent un instant part à sa légende. Utilisant le potentiel de mystère des textes bibliques, il nous parle également de territoires : la Cisjordanie, la Cyrénaïque, la Galilée.. L’auteur, servi par une phrase toujours plus maîtrisée, précise, et une langue lumineuse, pratique ici un mysticisme laïque, utilisant des éléments narratifs des textes sacrés pour interroger la foi, loin du dogme religieux. Frédéric Coché lui donne la réplique par ses gravures dépouillées, où son imaginaire flamboyant se déploie pour donner naissance à une mythologie symbolique teintée d’uchronie. > Mathieu Riboulet lit un extrait de son livre :
    14,00
  • 14,00

    Langue Trou, de Ludovic Degroote et Céline Guichard

    14,00

    Langue Trou, de Ludovic Degroote et Céline Guichard

    Ludovic Degroote publie avec "Langue Trou" son premier recueil de poésie sexuelle, davantage qu’érotique, à partir d’un poème éponyme écrit en 2001. Ici, Degroote le prolonge et alterne fragments et poèmes versifiés minimalistes suggérant l’enjeu d’un tel sujet, parfois avec drôlerie, où tout ne se passe pas si facilement. Céline Guichard, par la frontalité de ses dessins, dépasse l’expressionnisme et la réduction formaliste. pour en offrir sa version. Comme Prigent, elle pourrait dire «Du sexuel, je ne sais évidemment rien, sinon que c’est précisément ce qu’on ne sait pas». > Ludovic Degroote lit un extrait de son texte
    14,00
  • 13,50

    Les Oiseaux favorables, de Stéphane Bouquet et Amaury da Cunha

    13,50

    Les Oiseaux favorables, de Stéphane Bouquet et Amaury da Cunha

    Les Oiseaux favorables, les bons augures, ceux qu’attend la personne qui est « elle » dans ce livre. Elle, sa solitude interminable, la fuite des désirs, les histoires imaginaires ou virtuelles, l’écoulement naturel et inexorable de la vie, voilà ce que Stéphane Bouquet déploie dans sa prose très pure, qui rejoint la recherche d’apaisement de son personnage. Amaury da Cunha offre à cet univers ses photographies allusives et intimes, tout en nuances et clairs-obscurs, comme autant d’énigmatiques espaces en suspens. Les images, parfois en diptyques, sont des constructions lacunaires qui invitent le lecteur à imaginer l’instant d’après. > Stéphane Bouquet lit un extrait de son texte
    13,50
  • 13,50

    Le Travail de mourir, d’Emmanuelle Pagano et Claude Rouyer

    13,50

    Le Travail de mourir, d’Emmanuelle Pagano et Claude Rouyer

    "Tu n'as qu'à prendre un livre": ainsi rassure-t-on la petite-fille avant de l'emmener faire la tournée des oncles et tantes dans des maisons où seule la cuisine vit. Le travail de mourir est aussi l'histoire de cette autre tante, tricoteuse à domicile, dont le corps rapetisse depuis qu'elle est mariée à un mort - qui, lui, passa sa vie à les enterrer. En retraçant ces souvenirs, Emmanuelle Pagano revient aussi sur les mouvements d'écriture, qui s'apparentent à ceux que la narratrice apprit sur le Tricotin de son enfance. Les photographies de Claude Rouyer immortalisent cet univers où la mort rôde et où l'espace rétrécit, mais où percent encore quelques taches de couleur, comme autant de précieuses réminiscences à la pureté inaltérée. > Emmanuelle Pagano lit un extrait de son texte
    13,50
  • 13,50

    Immense et rouge, d’Akın Çetin et Marie Chartres

    13,50

    Immense et rouge, d’Akın Çetin et Marie Chartres

    La femme au centre de Immense et rouge, terrifiant récit de Marie Chartres, avance dans une vie aux bords émoussés, glissants : une traversée d’états limite, où se mêlent passé et présent, souvenirs dramatiques et visions fulgurantes. L’origine en est un drame dont on ne dira rien (dont tout ne nous est pas dit, du reste). Bascule, eaux troubles portées par une langue forte, véritable fabrique d’images, de couleurs. Et les images, magnifiques de Akin Cetin ouvrent des lignes de fuite aux consciences de lecteur, n’illustrent pas, c’est heureux, car tout eût put aisément, dès lors, basculer dans le trop-plein, dans le pathos. Les questions demeurent ouvertes, la douceur reste un possible – du texte sont préservées les heureuses ambiguïtés. [Guénaël Boutouillet sur le site Matériau Composite ] > Marie Chartres lit un extrait de son livre :
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